{fini} Keep Breathing — suite Scénario I avec Elhiès

KEEP BREATHING

Où étais je. Je n'étais plus moi même. Je ne sentais plus mon corps. J'étais dans une clairière. Mais pourquoi alors est ce que j'entendais des bruits que je n'étais pas vraiment sensée entendre dans une clairière. L'ombre d'une main posée sur mon visage. Des paroles étouffées. Une présence qui me rassurait autant qu'elle m'irritait. Je ne savais pas du tout ou j'étais. En réalité. Puisque je savais bien, je le constatais bien que je n'étais pas réellement dans cette certes jolie clairière verdoyante. Allongée au bord de l'eau fraîche et douce. Je me relevais doucement et constatais que je n'avais plus les mêmes habits. C'était certainement un rêve, oui, ça ne pourrait pas être autrement. Les amazones ... ne m'auraient pas laissées ainsi. Si elles m'avaient retrouvées. Je plongeais mes pieds nus dans l'eau fraîche ce qui eut le don de m'arracher un soupir de satisfaction. Après le combat après tout ça j'en avais bien be ... instinctivement ma main se posa sur mon épaule et me relevant vivement j'essayais de regarder dans l'eau afin de percevoir si oui ou non j'avais toujours la marque laissée par Arzhur. Mais non. Mon dos était toujours aussi blanc et laiteux et ma peau douce comme celle d'un bébé. J'arquais un sourcil. Est ce que j'étais morte? Déjà? Enfin ... sans avoir pu dire quoi que ce soit à qui que ce soit. Je regardais de tout les côtés me souvenant de l'état d'Elouann priant à la fois pour ne pas le voir ici et aussi parce que je me sentais seule. Mais non il ne pouvait pas mourir. Que deviendrait notre cause sans lui. Que deviendrait notre fille sans lui. Des larmes roulèrent sur mes joues. Je ne comprenais pas. Je ne comprenais vraiment pas.

Tout d'un coup mon cœur fut pris d'une nausée et prenant mes mains a mon ventre, j'allais près d'un tronc d'arbre expulser ce malaise de mes entrailles. Retournant d'un pas chancelant vers l'eau, en faisant bien attention cette fois de ne pas avoir d'autres haut-le-cœur, je rinçais mon visage à l'eau fraîche. En regardant l'eau c'est la que je la vis. Belle lumineuse et éclatante. Mère. Je me retournais vivement et lui sautais dans les bras. J'avais beau être mère et épouse moi même, guerrière à mes heures, rebelle et recherchée, cruelle parfois, face à elle ... Face à elle ne n'étais que la petite fille qu'elle avait laissé à sa mère. Murmurant tendrement son prénom je m'enfouissais la tête dans ses jupons agréables.

"Maève ma fille. Je suis fière de toi. Tu as su porter l'esprit de la famille. Tu as su suivre mes conseils. Mais tu as su toi aussi avoir tes propres décisions et actes. Je suis fière de toi" je relevais ma tête vers elle me demandant si j'étais morte. Mais alors que j'allais ouvrir la bouche pour le lui demander comme par télépathie comme si elle avait déjà entendu mes pensées elle me répondit en posant son doigt sur ma bouche "Non tu es entre les deux mondes. Et tu ne peux pas rester là. Il faut que tu reviennes parmi les vivants. Un jour on se reverra ma fille, et tu sera à mes côtés pour l'éternité, mais ce jour n'est pas arrivé. Ce jour n'est pas aujourd'hui!" les larmes plein les yeux je lui murmurais qu'elle me manquais. Que par chacun de mes actes je pensais à elle. Par chacune de mes paroles. Que même si je prenais des décisions, elle était toujours dans mon esprit. "Je sais Maève, mais tu dois aller au bout de ton destin. Je serais toujours là pour toi!"

Elle me repoussa gentiment me forçant à me retourner face à l'eau et je sentis sa main se poser dans mon dos et son ongle suivant au millimètre près le tracé de l'épée d'Arzhur. Quand elle eut fini je me mis à hurler de douleur. C'était comme si une nouvelle fois cette blessure m'était portée. Je sentais à nouveau le fer glacé de l'épée trancher vivement dans ma chair.

Et j'ouvris les yeux. J'étais au village des amazones, à plat ventre contre un lit chaud. Plusieurs amazones étaient autour de moi et je sentais leurs mains dans mon dos essayant de me soigner mais je remuais comme une anguille. Trop déçue quelque part de revenir à la réalité.

Invité

Heureusement qu’Elhiès avait retrouvé Maeve, car sinon… Non faut pas penser à ca. Elle était déjà assez mal en point comme ca. Puis parler ou penser à la mort, cela est parler de malheur. Et le malheur arrive plus facilement lorsqu’on en parle. Donc non, Elhiès ne pensait pas à la mort. Elle ne pensait qu’aux blessures de Maeve. Ses pensées allaient bien sure de temps en temps vers Dyncan, mais là encore elle ne voulait pas penser à la mort. Superstitieuse ? Mmm peut-être un peu. A côté de Maeve, car il est hors de question qu’elle aille prendre des nouvelles de Dyncan. Cela faisait à présent un long moment que Maeve n’avait plus reprit connaissance et elle commençait à craindre le pire. Elhiès se levait et allait chercher un peu d’eau pour rafraichir le visage de Maeve, en espérant que par ce geste d’eau froide, la jeune femme allait reprendre conscience. Pendant que ses amies s’occupaient des blessures de Maeve, Elhiès revenait avec un peu d’eau et s’asseyait près d’elle. Avec un bout de tissu trempé, elle lui caressait doucement le visage. Inconscience ses idées allaient vers Dyncan. Quel imbécile ! Quel con ! Pourquoi s’être prit à Elouann ? Et puis pourquoi utiliser ses dernières forces pour l’attaquer ? N’avait-t-il donc vraiment pas comprit ? Elle n’arrivait pas à le tuer. S’il voulait mourir, il allait devoir s’attaquer à quelqu’un d’autre et non à elle.

Sortant de ses pensées par une Maeve qui avait ouvert les yeux, mais qui face à la douleur causé par ses blessures au dos, commençait à se crisper dans toutes les positions possibles. Elhiès se relevait. Posant sa main sur le bras d’Elhiès, tout en essayant de la retenir, afin qu’il ne bouge pas trop, elle lui murmurait doucement.

« Ssst. Ca va aller. C’est bientôt fini. Essaie de rester calme Maeve. »

Ca aurait beaucoup mieux si Elouann ou Khany étaient là pour calmer la princesse. Mais Elouann était toujours inconscient, et Khany.. Et bien impossible de savoir ou la sorcière se trouvait. Elle ne semblait pas vraiment se calmer, mais elles étaient nombreuses à essayer de la retenir et à la soigner en même temps. Lorsque finalement le bandage fut mit, qui entourait tout son dos ainsi que sa poitrine, on la lâchait doucement. C’était mieux qu’elle trouve elle-même une position dans laquelle ses blessures ne lui causent pas trop de mal. Finalement les autres amazones partaient, et Elhiès restait près de Maeve. Silencieuse. Très silencieuse. Ce ne fut qu’après un long moment de silence qu’elle prononcait faiblement, gardant la tête vers le sol.

« Je suis désolée… je… »

Elle ne savait pas quoi dire. Désolée je n’ai pas su le tuer ? Désolée d’être une traitresse ? Car au fond c’était ce qu’elle ressentait.

La douleur me faisait horriblement mal et en plus je venais de dire adieu à mes rêves avec ma mère. Enfin étais-ce un rêve ou une vision. Une chose dont seul les sorciers ont la connaissance. Aucune idée. Il faudra que j'interroge Khany. Elle saurait peur être. Hm Oui elle saurait même surement. Je continuais donc de me débattre. N'importe quelle main posée dans mon dos me faisait mal. C'était comme si je revivais plusieurs fois ce moment. Je serrais les dents le plus que je pouvais pour ne pas crier de douleur. Il fallait bien soigner, je le savais. C'était obligé. Je ne pouvais pas rester ici. Mais je serais très limitée dans mes mouvement une bonne trentaine de jours. Enfin je n'étais pas médecin ou guérisseuse et ne prétendais pas l'être, j'attendrais donc leur verdict sur mon état de santé mais … Pour le moment je mordais à pleines dent dans l'oreiller sous ma joue pour me retenir de hurler et éviter de me mordre la langue également. Combien de temps ça dura aucune idée. Je n'entendis pas la voix d'Elhiès. Je ne la reconnus même pas. Je n'étais même pas assez consciente pour pouvoir dire clairement si Khany ou Elouann étaient dans la pièce. Je ne pouvais pas mes sens étaient tous à fleur de peau, tous faisaient des siennes. Aucun ne voulait me calmer.

Je sentis les amazones bouger mon corps doucement de gauche à droite, je sentais qu'elles ne touchaient plus à la plaie. J'espérais qu'elles en avaient finies. Il semblerait puisque je ne sentais a présent plus aucune main sur moi mais la douleur dans le dos était encore présente et irradiait tout le haut de mon corps. Il m'était impossible de me lever ou de bouger. J'essayais de bouger les jambes mais non je ne pouvais vraiment vraiment pas bouger. Je soupirais et posais ma tête sur l'oreiller. Je tendis l'oreille quand j'entendis une petite voix à côté de moi. J'étais persuadée que j'étais restée seule. Levant un peu la tête, le plus que je pouvais pour ne pas trop avoir mal je constatais que c'était Elhiès. Elle disait être désolée. D'un seul coup mon sang ne fit qu'un tour. Pourquoi est ce qu'elle s'excusait? Est ce qu'il était arrivé quelque chose à Elouann. Non je ne me le pardonnerait jamais. Je me levais d'un bond en réprimant fortement un cri et la regardais. « Tu es désolée? De quoi? Elouann? Est ce qu'il … » Je tremblais un peu et mes yeux étaient fous, ils ne savaient pas sur quoi s'arrêter. Ma tête tournait de m'être relevée si rapidement mais je devais savoir.

Invité

Elhiès sursautait lorsque Maeve se levait si brutalement. Se levant immédiatement pour tenter de la calmer.

« Non non ! Elouann n’est pas mort. Il est dans une maison. Il ne s’est pas encore réveillé, mais il respire toujours et ses blessures ont été soignées. »

Est-ce qu’il allait en sortir ? Elle n’en savait rien. Elle n’avait fait qu’entendre ce que les autres amazones disaient. Elle n’était pas allée voir, de peur d’y voir Dyncan. Elle ne se sentait toujours pas prête pour l’affronter. A vrai dire, est-ce qu’elle serait prête un jour ? Et puis pour faire quoi ? Le regarder mourir ? Le regarder guérir ? Et puis quoi ? Y avait pas de lumière à la fin de ce tunnel d’amour, Elhiès en avait bien trop conscience. Et c’était pour cela qu’elle ne voulait pas aller le voir. Qu’elle ne voulait pas lui faire face. D’autre part, parce qu’elle avait peur de sa propre réaction. Quand elle était près de lui, elle réagissait totalement à l’inverse de ce qu’elle devrait. Et c’est pas bien. Pas bien du tout.

« Si tu te sens mieux et que cela va pour marcher, on irait le voir, si tu veux. »

Au point ou Elhiès en était, elle était capable de tout faire pour Maeve. Après tout c’était grâce à elle que Dyncan vait la vie sauf. Mais cela ne devrait pas être ainsi, et la punition qu’il risquait d’avoir était surement pire que la mort. Mais elle ne pouvait pas le voir mourir. C’était insupportable. C’était drôle… elle qui avait toujours souhaité sa mort, voila qu’elle se retrouve à ne plus le vouloir mort. Amour quand tu nous tient, t’es pire que Lucifer.

« Je sais ce que tu dois penser de moi… Mais j’ai essayé… j’ai essayé de le tuer lorsqu’il a attaqué Elouann, je lui ai même tiré une flèche dessus, mais j’ai raté mon coup… Cela ne l’a pas tué… »

Parler d’amour était encore trop difficile pour Elhiès. Que ca soit contre Maeve ou encore contre elle-même. Même si elle se réalisait à présent qu’il ne s’agissait plus d’un sort. C’était une honte de devoir s’avouer aimer un homme comme Dyncan. Car oh oui, il n’y avait rien de glorieux en lui. Pourquoi l’aimer… Ah elle se le demandait bien… Et pourtant quelque part, elle ne voudrait pas un homme qui ai peur d’elle, qui ne sait pas se battre et qui fait tout ce qu’elle demande. Quelqu’un qui lui pose du fil à retord, oui, c’était ce qu’elle aimait. Et ca malheureusement Dyncan avait en lui.

Je fûs plus que ravie d'entendre qu'il allait bien qu'il était encore en vie mais pas encore réveillé. Au moins il était soigné. Je souris également en voyant la jeune amazone se lever immédiatement pour me calmer et venir à mes côtés. J'espérais de tout cœur qu'il allait s'en sortir. Il le fallait. Oui il le fallait je ne pourrais jamais continuer sans lui à mes côtés. Je ne pourrais rien sans lui. Il fallait que j'aille le voir. Je devais aller le voir. Mais je ne savais pas si j'avais le droit de bouger. Déjà me relever comme une furie avait lancé une douleur dans tout mon dos et toute ma nuque. Je soupirais. Bon peut être que c'était aussi parce que je n'avais pas fait attention que je m'étais levée rapidement d'un geste sec et peu prudent. Oui on va dire que c'est ça. Je la regardais doucement. Puis une question me trottais dans la tête. Elle devait certainement se la poser elle aussi.

« Est ce que Dyncan va bien? Il a été soigné lui aussi? » je la regardais me demandant si elle avait essayé d'aller le voir, ou d'en savoir plus sur son état de santé. Je supposais que non, elle devait se sentir trop mal vis à vis de ses sœurs. Mais je me demandais. Je ne supporterais pas qu'il s'en sorte et pas Elouann. C'était certainement très méchant à penser. Mais je n'étais pas la femme de Dyncan mais celle d'Elouann.

Elle me proposais d'aller le voir. Oui j'avais envie d'aller le voir. Il le fallait. « Oui, je dois aller le voir. Merci beaucoup Elhiès. »Je devais aller le voir!! Je hochais positivement de la tête en essayant de bouger un petit peu. C'était encore assez douloureux, mais tant que je faisais attention. Je cherchais des yeux une tunique à enfiler par dessus ma poitrine et mon dos bandé puis lui demandais « Est ce que tu sais si je peux mettre un habit. Lever les bras me fait encore un peu mal. Même si je suis dans un village amazone, que la nudité ne me gêne pas et que je vais voir mon mari, je n'ai pas trop envie de me promener à moitié nue » je souris doucement en rigolant. Surtout que le j'avais vu il y a peu quand j'étais allée me baigner en tenue d'Ève dans la mer.

« Je sais ce que tu dois penser de moi… Mais j’ai essayé… j’ai essayé de le tuer lorsqu’il a attaqué Elouann, je lui ai même tiré une flèche dessus, mais j’ai raté mon coup… Cela ne l’a pas tué… »

Je souris doucement. J'avais pu paraître dure et sèche tout à l'heure envers elle. Mais comprenez moi, mon mari était au bord de la mort et celui qui en était responsable n'était pas Elhiès, mais Dyncan. Je hochais négativement de la tête.

« Non tu ne peux pas savoir ce que je pense de toi Elhiès. Contrairement à ce que tu penses je ne t'en veut pas. JE n'ai pas été très douce tout à l'heure je m'en excuse, mais j'étais sous le choc de l'état d'Elouann. Et du mien également. » je posais ma main doucement sous son menton sans me faire trop mal et tournais son visage fuyant vers moi. « Ce n'est pas toi qui a transpercé le corps d'Elouann, Elhiès. Tu n'y peux rien. C'est Dyncan le responsable. Et personne d'autre. On ne choisis pas qui on aime. » je souris. Je ne lui en voulait pas du tout. Elouann était assez grand pour se défendre. Et il n'y avait pas eu qu'elle a le défendre. Dans ce cas là je devrais en vouloir à toutes les personnes de notre côtés qui étaient dans les parages. « Je ne t'en veux pas. Je lui en veut à lui. Mais il ne mourra pas. Il est prisonnier. Je sais que ça le fera rager. Celui qui décidera s'il doit vivre ou mourir sera Elouann, pas moi. »

Je me levais doucement et marchais en direction de la sortie de la maison.

Invité

Dyncan… est-ce qu’il allait bien? Elhiès haussait immédiatement les épaules. Elle n’en savait rien. Et ne savait d’ailleurs pas si elle voulait vraiment le savoir. Et si il n’allait pas bien ? Si son corps était déjà glacial ? Non elle ne pouvait pas… elle ne tenait pas à savoir.

« Je ne sais pas… J’ai pas prit de ses nouvelles. Uniquement celles d’Elouann. »

Sa fidélité allait vers les amazones. Et bien que son amour pour le soldat la ronge à l’intérieure, que pouvait-elle bien faire pour changer une telle chose ? On n’efface pas l’amour d’un coup de baguette. Maeve lui dit qu’elle voulait aller voir son mari, chose qu’elle comprenait parfaitement ; et suite à la demande de Maeve, Elhiès s’était déjà relevé pour cherche quelque chose de léger et de trop grand afin que cela ne lui sert pas. Revenant avec une tunique, elle la lui tendit, avant de s’excuser à nouveau. Oh, Maeve pouvait bien dire qu’elle ne lui en voulait. Elle s’en voulait à mort. Car elle se trouvait une traitresse.

« Tu n’as pas a t’excusé, Maeve. Tu avais toutes les raisons de réagir de la sorte. Tout le monde aurait réagit ainsi. Et tu n’avais pas tort. »

Bien sure que non. La fautive dans l’histoire était bien elle-même, Elhiès. Tomber amoureuse de Dyncan. Il aurait du s’en prendre à elle et non à Elouann. Elle aurait du le tuer, dès leur première rencontre. Lorsqu’il l’avait embrassé, elle avait du en profiter pour user de cette faiblesse. Mais au contraire elle avait fait tout l’inverse. Peut-être que Maeve avait raison, elle n’était pas responsable pour le fait qu’Elouann soit touché. Mais elle aurait pu l’empêcher.

« Je ne veux pas être amoureuse de lui, Maeve. Il est représente tout ce que je déteste. L’arrogance, la soumission des femmes, la rage, la haine…. Mais il semble que je suis incapable de ne pas me laisser amadouer par lui. »

On ne choisit pas qui on aime. Bien vrai tout ca ! Surtout dans son cas. Car tomber amoureuse de l’ennemi, ca peu de gens souhaitent l’être. Se levant en même temps que Maeve, elle écoutait les paroles. Oh oui, être prisonnier des amazones était une punition pour Dyncan. Et au fond, Ely devait bien avouer que cela l’amusait. Tout ce qui énervait Dyncan l’amusait. Mais ce petit plaisir s’effaçait très vite lorsque Maeve parlait d’un Dyncan mort… Mais encore, elle ne pouvait pas aller contre. C’était vrai. Elouann pouvait décider de son sort. Et il n’y avait pas d’autre choix pour elle d’accepter la sentence. Lorsque Maeve se dirigeait vers la maison ou se trouvaient les deux soldats, Elhiès la suivait. Elle n’avait pas vraiment envie de rentrer. Mais elle resterait dans l’ombre et ne parlera pas. Elle s’occupiera de surveiller. Si jamais Maeve s’évanouit à nouveau, mieux que quelqu’un soit là pour appeler de l’aide.

Suite dans le sujet des garçons.

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